« Où concentrer les investissements et comment choisir son type d’activité ? » C’est la question que se posent de nombreux décideurs dans les cabinets et laboratoires dentaires, en particulier au vu des diverses variantes qu’offre la prothétique. D’une part, une formation de prothésiste dentaire (et a fortiori le brevet de maîtrise) autorise, en Allemagne, la réalisation de prothèses dentaires de qualité. D’autre part, la demande est également influencée par l’aspect financier. Parallèlement, on constate qu’avoir de belles dents reste très important aux yeux des patients. Comment, dans ce cas, mettre en place une stratégie pour son cabinet dentaire ou son laboratoire dans des conditions optimales ? À l’IDS, Salon International d’Odontologie, qui se tiendra du 24 au 28 mars 2009 à la foire expo de Cologne, des fabricants répondent à ces questions. Ils présentent leurs produits, répondant aux exigences les plus diverses: haute technologie, gamme moyenne ou petit budget. Dans tous les cas de figure, les appareils comme les matériaux sont de qualité supérieure sur le plan technique. Ils permettent des résultats convaincants en termes de fonctionnalité et d’esthétique et se caractérisent par un bon rapport qualité-prix. Par ailleurs, les systèmes modulables permettant de réaliser des solutions confort, standard ou « économiques ». Cela permet au chirurgien dentiste et au prothésiste de répondre aux désirs de leurs patients, que le budget soit restreint ou qu’il autorise des solutions plus coûteuses. Exemple CAD/CAM : au salon IDS, vous trouverez tout ce qui vous intéresse des équipements de grande envergure au scanner disponible séparément et dont les données peuvent être exportées quel que soit le fabricant. Les fraiseuses de certains fabricants ne traitent pas uniquement le dioxyde de zirconium et le composite PMMA mais aussi les métaux comme le titane ou d’autres métaux non précieux. Si le prothésiste dentaire compare les systèmes en circulant dans les halls d’exposition, il trouvera certainement la solution idéale qu’il pourra proposer à ses chirurgiens dentistes pour toutes les gammes de prix. Même pour les céramiques cosmétiques, il existe plusieurs catégories. Par exemple, dans certains cas, il est possible de choisir entre une technique de pressage moins coûteuse et une technique de superposition de plusieurs couches plus chère. Le dentiste procédera de manière similaire à une dégression des tarifs selon le coût et l’esthétique des matériaux pour le traitement Chairside – du ciment aux composites une ou plusieurs couches avec ou sans teinte jusqu’à la céramique fraisée. Au salon IDS, l’implantologie se présente ainsi. Ici les chirurgiens dentistes et les prothésistes se trouveront face à la question des logiciels de planification et de la chirurgie guidée. Il est possible de voir des démonstrations de diverses solutions, petites et grandes. Des gabarits de perçage peuvent être fabriqués avec ou sans support numérique au laboratoire ou chez le partenaire (en cas d’exportation des données). Les prothèses télescopiques peuvent être transformées en prothèses provisoires du patient devant recevoir l’implant. Ou bien, une variante meilleur marché : elles sont stabilisées grâce à des mini-implants lorsque la dent pilier n’est plus là. C’est précisément chez les fabricants d’implants que de nombreuses innovations sont à découvrir, aussi bien pour les dentistes que les prothésistes. En particulier sur ce thème, il peut être intéressant de s’y rendre ensemble afin de pouvoir présenter aux patients une stratégie commune. « Le technique dentaire allemande a la réputation d’être la meilleure au monde » souligne le Dr Markus Heibach, président de l’association VDDI. « La question de savoir si la prothèse dentaire doit être haute technologie ou peu coûteuse ne doit pas se poser dans les laboratoires ou les cabinets en termes de l’un ou l’autre. En effet, dans tous les cas, l’art de la technique dentaire doit être promu et les souhaits du patient doivent être exaucés sans concessions. La question est plutôt: « Comment répondre aux attentes de chacun de mes patients de manière optimale ? » Ici on a besoin de systèmes modulables qui permettent aussi bien de répondre aux besoins d’alternatives à budget restreint que d’alternatives plus coûteuses. Car la situation se présente ainsi : dans l’un des cas, le patient opte pour la solution thérapeutique la plus sophistiquée et dans l’autre la décision se porte sur la solution la moins chère et dans de nombreux cas, on se trouve en situation de compromis. « L’industrie considère que sa mission consiste à offrir des possibilités aux prothésistes et chirurgiens dentaires et de leur ouvrir toutes les portes. De nombreux fabricants ont mis à profit le temps écoulé depuis le dernier salon IDS pour élaborer de nouveaux systèmes et affiner les techniques existantes. J’invite donc tous les intéressés à se rendre au salon à Cologne au printemps prochain afin de se forger leur propre opinion. Car ce salon d’odontologie de niveau mondial offre tout ce que l’on peut désirer : pour que chacun, propriétaire de cabinet ou de laboratoire, puisse trouver sa voie pour mettre en place une stratégie d’acquisition tournée vers l’avenir. » L’IDS (Salon International d’Odontologie) se tient tous les deux ans à Cologne. Il est organisé par la Société pour la promotion de l’industrie dentaire (GFDI), une entreprise économique relevant de l’Association de l'Industrie Dentaire Allemande (VDDI), Koelnmesse GmbH, Cologne, assurant son bon déroulement. Remarque pour la rédaction:
Vous trouverez des photos du dernier salon IDS dans notre banque d'images en ligne (http://www.ids-cologne.de) à la rubrique «Presse» sous «Photos». .
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